Julien Peretti a été condamné par plusieurs jugements à démolir les constructions qu’il a édifiées dans un but touristique à Saparella, commune de Coti Chjavari et a adressé un pourvoi devant la Cour de cassation. Devant un déluge des fausses informations, devant une violente et injuste campagne de dénigrement et d’injures et afin d’éclairer ses adhérents et l’opinion publique, U Levante a porté plainte et a décidé de démonter ces accusations en publiant une série de mises au point, illustrées par des documents officiels. Ces publications successives n’ont pas vocation à inaugurer un “chjama è risponde” et sont fermées aux commentaires.
Les réelles maisons familiales de Pierre-André Peretti, grand-père de Julien et Jean-Côme, dont de vieilles photographies sont mises en avant, n’ont jamais été concernées par la demande de démolition.
Lors du rassemblement du 16 décembre 2016, à Saparella Soprana, une photographie censée « prouver » l’ancienneté des maisons Peretti était exposée :
La légende, affichée, de la photographie des grands-parents Peretti, indique que celle-ci date de 1928.
M. G.-X. Culioli publie, le 9 février 2024, d’autres photographies également prises devant ces maisons, datées – dit-il – de 1952.
Et il ajoute que les associations « nient l’existence des maisons ». C’est faux.
U Levante n’a JAMAIS écrit que ces deux anciennes maisons familiales n’existaient pas.
En 1951, date de la plus ancienne photographie aérienne disponible, les 2 anciennes maisons familiales sont visibles et apparaissent assez récentes. Nous ne connaissons pas la date exacte de leur construction, mais nous savons qu’elles ne sont pas représentées sur le plan du cadastre napoléonien de 1846.
Ces deux anciennes maisons familiales font bien partie du patrimoine Peretti :
- elles existent toujours,
- elles ne sont jamais tombées en ruine,
- elles sont situées dans la partie la plus au nord du « Domaine Peretti », à Saparella Sottana
- la plus grande d’entre elles a été agrandie entre 1990 et 1996,
- les permis de construire n° 2, 3 et 5 annulés par la justice ne concernent pas ces maisons,
- elles ne font donc pas partie des cinq maisons dont la justice a demandé la démolition.
Voici leur situation géographique sur :
- une photographie vue d’avion de février 2020
- l’image satellite Google Earth de 2020 :
Conclusions : U Levante et le GARDE n’ont jamais exercé aucun recours visant ces 2 « anciennes maisons familiales », qui existent toujours et qui ne font pas partie des 7 autres constructions, neuves, concernées par les trois permis de construire annulés de 2011. En prétendant le contraire, les soutiens de la famille Peretti cherchent à tromper l’opinion.